Une ère de changement mondial est à nos portes.
Si beaucoup accueillent ces transformations avec confiance, d’autres demeurent incertains quant à l’avenir.
Tout semble simple lorsque le vent est calme et que la terre reste paisible.
Mais lorsque les bourrasques du changement se mettent à souffler dans leur dos, les humains commencent à comprendre combien leur existence est fragile.
Dans cette Ère de Guerre, l’humanité se tient sur un précipice éternel : elle contemple l’abîme de l’oubli, consciente qu’un seul faux pas pourrait la précipiter vers l’extinction.
Jusqu’à quel point l’humanité peut-elle supporter le tumulte avant d’être poussée au-delà du bord ?
Ces réarrangements mondiaux ne sont-ils que de légères secousses sous les pieds de l’humanité, ou bien les prémices du tremblement final ?
LA FORCE DE L’UNITÉ RÉSIDE DANS LE COMPROMIS
Les couronnes se sont transmises à travers des milliers de rois et de reines, chacun différent du précédent.
Tel le pendule d’une horloge, le pouvoir oscille d’un côté à l’autre dans le passage infini du temps.
Ce mouvement crée un équilibre entre deux forces opposées – chacune dépendant de l’autre pour maintenir l’ordre.
Aucun des deux côtés n’a entièrement raison ni entièrement tort, mais aucun ne peut céder.
Car si le pendule cesse de se balancer, l’horloge cesse de fonctionner.
LE TRANSFERT PACIFIQUE DU POUVOIR EST LE FONDEMENT DE LA LIBERTÉ
Il est facile d’attribuer les difficultés aux dirigeants de l’humanité lorsque ce ne sont pas ceux que l’on a choisis.
Dans l’esprit de leurs opposants, un dirigeant devient un ennemi ;
ses erreurs deviennent des attaques préméditées ;
ses failles humaines deviennent des défauts irrémédiables ;
ses faux pas deviennent des conspirations malveillantes.
Beaucoup refusent de voir le moindre bien chez ceux qui ne partagent pas leurs croyances, simplement parce qu’ils pensent différemment.